Article de presse apparu sur le journal “Novara Oggi” le 26 Octobre 2012.
“PASSAMANI” a été sauvée
«L’industrie née en 1986 à Novara, proche de la fermeture, a été transférée de Novara à San Pietro Mosezzo”
Préserver les traditions et produire les passementeries de haute qualité: c’est le défi relevé par Mr. Piergiovanni Vitalini qui a repris à la fin mai 2012 “sPassamani” et l’a sauvé, lui permettant de poursuivre les travaux avec l’utilisation de machines traditionnelles vielles de plus d’un siècle..
“Passamani”, situé à Novara, est une industrie née en 1896 qui a été impliquée dans la réalisation de passementerie pour le mobilier (franges, napperons, rubans jacquard).
Après une longue période d’activité, au cours du mois de mai en 2012, cette incroyable société était sur le point de fermer ses portes, mais, grâce à Piergiovanni Vitalini, elle a été reprise et transférée à San Pietro Mosezzo.
En entrant dans la salle des machines, c’est un retour dans le passé parce que vous pouvez voir beaucoup de machines qui ont été construites au début du siècle dernier.
«Je suis un passionné des particularités – explique Vitalini – Je suis un ami de Gianni Vestali, qui travaillait avec Passamani, et je savais qu’elle était au bord la faillite et qu’il aurait été vraiment dommage de perdre cette incroyable pièces d’histoire”.
“Je suis d’un petit village, près de Pesaro Urbino et là, je suis le propriétaire d’une société appelée Forza Giovane qui travaille dans le domaine de décorations pour le monde de la mode.
Entre Forza Giovane et Passamani il a été possible de créer une union incroyable. Passamani pourrait être défini comme un musée, car vous pouvez trouver des machines anciennes qui fonctionnent plus lentement, mais pouvant travailler chaque type de fil.
Dans cette industrie, le travail manuel est fondamental car ce n’est pas comme une “ligne de production” et tous les travailleurs doivent tous utiliser leur passion afin de créer le meilleur produit “.
Précieux collaborateur et ami, Gianni Vestali, responsable de “Passamani”: “J’ai travaillé dans Passamani pendant 38 ans et les larmes commençaient à couler quand je savais qu’elle fermerait. Pour moi, ce n’est pas seulement un travail, mais il est une véritable passion.
Initialement Passamani comptait 250 travailleurs, alors que nous avions été obligés de réduire le personnel de 40 et maintenant à 4.
Je suis content que l’entreprise puisse continuer à vivre. Les machines n’ont pas une grande valeur économique mais du point de vu historique et culturel ont une valeur inestimable(nous utilisons encore une machine de déformation vertical et aujourd’hui elles sont toute horizontales).
Ainsi, l’histoire de Passamani continuera, en collaboration avec les plus importantes marques de mode nationales et internationales.
Articolo di stampa apparso su MF il 13 agosto 2013
Articolo di stampa apparso su Collezioni Trends n. 101 Settembre 2012